Quand je pense que vous m'avez survolé
Une fois encore pris votre envol et venu me hanter,
Irrésistible ombre noire,
Et rôder autour de mon lit pour me narguer.
Quand je rêve encore que vous avez disparu,
Dans le soleil nu vous m'étonnez.
Vous êtes l'éclat des étoiles au dessus de moi.
Vous êtes le hurlement du vent autour de moi.
S'ils chantent, je vous entends chanter.
S'ils pleurent, j'entends votre plainte.
Vous êtes le murmure de la rivière
Le crépuscule et l'aurore.
Vous êtes tout et tout vous devient,
Tout en moi, laissant à jamais,
Vivre en moi, vivre pour moi,
L'ombre en moi pour toujours.
Une fois encore pris votre envol et venu me hanter,
Irrésistible ombre noire,
Et rôder autour de mon lit pour me narguer.
Quand je rêve encore que vous avez disparu,
Dans le soleil nu vous m'étonnez.
Vous êtes l'éclat des étoiles au dessus de moi.
Vous êtes le hurlement du vent autour de moi.
S'ils chantent, je vous entends chanter.
S'ils pleurent, j'entends votre plainte.
Vous êtes le murmure de la rivière
Le crépuscule et l'aurore.
Vous êtes tout et tout vous devient,
Tout en moi, laissant à jamais,
Vivre en moi, vivre pour moi,
L'ombre en moi pour toujours.
C'est un poème comme je les aime, au sens inépuisable, toujours tiré du blog de traduction dont je parlais dans mon post précédent. La traduction que je tente est faite à partir de l'anglais.
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