Notes de lectures, compte-rendu d'expositions, avis sur des films ou des concerts... L'ancienne version est sous Tumblr (grimmc7.tumblr.com)
dimanche 30 janvier 2011
Percevoir l’Ouvert pour arpenter son Ciel
Je continue mon petit chemin. Mathilde Ro7ti a elle même un blog qui me plait beaucoup "Soupirail" dont j'ai tiré le titre et un nouveau tableau "araignée du soir, araignée du matin" ci-dessus.
Ce que c'est qu'être au monde
Découvert ce matin, par twitter (Poezibao de Forence Trocmé) le blog "Aedificavit" que j'aime beaucoup déjà, qui est bien accordé à ma recherche et dont j'ai tiré le titre de cette page et ce tableau de
Encore un passage qui me touche beaucoup "On est assis là, sur un banc de pierres, incapable de retrouver la porte derrière laquelle l'enfant qu'on a été a passé tant d'heures, penché sur son cahier..."
Encore un passage qui me touche beaucoup "On est assis là, sur un banc de pierres, incapable de retrouver la porte derrière laquelle l'enfant qu'on a été a passé tant d'heures, penché sur son cahier..."
vendredi 28 janvier 2011
Le goût du sel de Laure Morali et les gestes lents de Jane Presley
jeudi 27 janvier 2011
Ce qu'il faudrait comprendre et n'est pas accessible - Christine Jeanney
"L'impossible lien ou la maladresse attentive"
"L'ego dévasté et le labyrinthe des postures"
"Ce qu'il faudrait comprendre et n'est pas accessible"
"Décrire votre visage dans l'en dedans de ce qu'il n'ose pas se montrer à lui-même"
Beau texte aux résonnances profondes.
C'est de Christine Jeanney sur son blog "tentatives"
Je porte en moi plusieurs fins du monde - Jane Presley
"La musique mélancolique m'achève le vague à l'âme."
"Je ne perçois plus les frontières. Toutes les particules, même les plus élémentaires, me traversent indifféremment. Je deviens alors une grande soupe instable en quête perpétuelle d'équilibre."
"Je porte en moi plusieurs fins du monde."
Quel texte beau et fort ! Et si bien accordé à mon humeur en ce milieu d'hiver !
A découvrir sur le blog de Jane Presley, toujours remarquable.
"Je ne perçois plus les frontières. Toutes les particules, même les plus élémentaires, me traversent indifféremment. Je deviens alors une grande soupe instable en quête perpétuelle d'équilibre."
"Je porte en moi plusieurs fins du monde."
Quel texte beau et fort ! Et si bien accordé à mon humeur en ce milieu d'hiver !
A découvrir sur le blog de Jane Presley, toujours remarquable.
mardi 25 janvier 2011
Heinrich Kühn et Léon Dabo
Une intéressante comparaison du photographe et du peintre avec de belles photos et de beaux tableaux sur le site Blue Lantern de Jane Librizzi .
Voici les deux que je préfère :
Voici les deux que je préfère :
dimanche 23 janvier 2011
Le requiem de Gabriel Fauré à l'église Saint Roch
Vendredi soir, avec Dévi, à l'église Saint Roch
le requiem de Gabriel Fauré par l'orchestre Ostinato et le chœur Vittoria.
Je n'ai pas trouvé cette version sur Internet.
En voici une autre d'Accentus
le requiem de Gabriel Fauré par l'orchestre Ostinato et le chœur Vittoria.
Je n'ai pas trouvé cette version sur Internet.
En voici une autre d'Accentus
mardi 18 janvier 2011
Indicible et impensable
Qu’une chose soit indicible, cela ne prouve pas qu’il n’y ait pas de possibilité de la connaître au-delà ou en-deça du langage... Qu’une chose soit impensable, cela ne prouve pas non plus qu’il n’y ait pas de possibilité de la connaître sans la pensée...
- Le Livre Rouge de la psychanalyse, Alain Amselek, éd. Desclée de Brouwer, 2010, p. 108
lundi 17 janvier 2011
Pose ta tête sur mon épaule - Yehouda Amihaï
Pose ta tête sur mon épaule
Car mon épaule
Sait des choses
Que ta tête n’ose imaginer
Et que ta bouche ne peut dire
Le destin le dit
Que l’un de nous doit être le vent
L’autre un arbre dans le vent
Ou un arbre dans un jour sans vent
Le destin le dit
Ta naissance pendant la guerre
Annonce ma fin.
Ma fin sera tienne ce jour
Combien de temps vont-ils poser
Sur nous des pactes d’angoisse,
Des traités de désespoir ?
Laisse-moi l’exprimer ainsi :
Le temps ne se suffit pas pour être
Deux ensemble deux fois
Pour une seule durée de vie.
Laisse-moi l’exprimer ainsi :
Même cette tendresse, même ce cœur limité
N’est rien qu’une épaule.
Repose-toi, repose-toi, pour cela.
Car mon épaule
Sait des choses
Que ta tête n’ose imaginer
Et que ta bouche ne peut dire
Le destin le dit
Que l’un de nous doit être le vent
L’autre un arbre dans le vent
Ou un arbre dans un jour sans vent
Le destin le dit
Ta naissance pendant la guerre
Annonce ma fin.
Ma fin sera tienne ce jour
Combien de temps vont-ils poser
Sur nous des pactes d’angoisse,
Des traités de désespoir ?
Laisse-moi l’exprimer ainsi :
Le temps ne se suffit pas pour être
Deux ensemble deux fois
Pour une seule durée de vie.
Laisse-moi l’exprimer ainsi :
Même cette tendresse, même ce cœur limité
N’est rien qu’une épaule.
Repose-toi, repose-toi, pour cela.
vendredi 14 janvier 2011
Andromaque
mercredi 12 janvier 2011
France BRECHIGNAC
Plusieurs oeuvres de France Brechignac sont en exposition en ce moment à l'église de La Défense. J'ai été très sensible à ces "patchworks" faits de tissus multicolores et lumineux.
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